Paris était envolant.
Juste nous deux, l'espace d'un instant.
Etre dans une autre ville, un autre pays, en terre inconnue, avec sa main pour seul port d'attache fait tomber encore plus amoureux. Souvent je me dis : "Plus? c'est impossible."
Et chaque jour qui passe est comme un pied de nez à toutes mes certitudes.
Il y a eu l'exposition, le métro, courir partout, manger un hamburger à 17 heures, attendre un peu impressionnés avec une foule de personnes, mourir en musique, tomber encore encore plus amoureuse en regardant ses yeux scintiller. Il y a eu les pieds écrasés, les jeunes filles un peu trop dénudées et alcoolisées, les demoiselles d'à côté fans hystériques qui chantaient à en perdre leurs voix et à en faire tomber les oreilles des géants de devant, il y a eu des sourires complices avec des inconnus, il y a eu le coeur au bord de se décrocher, il y a eu Levallois de nuit, le conservatoire Maurice Ravel, le square vide la mairie, l'appartement aux mille tapis moelleux, paradis des pieds nus, il y a eu le petit déjeuner en amoureux, les sucres certainement créés spécialement pour nous deux, il y a eu Levallois de jour, les courbatures dans les jambes à force de se mettre sur la pointe des pieds, les sushis du coins de la rue, l'opéra Garnier et notre tête-à-tête parce que je ne peux pas mettre un pied dans la capitale sans lui rendre une visite, il y a eu les grands boulevards, les passages couverts, le magasin-merveille. Il y a eu Basile. Il y a eu le chemin du retour, les pieds dans la gare, la tête dans les nuages, le coeur léger, les mains bien accrochées.
( Et il y a eu l'accueil à la maison par de l'épistolaire-surprise. )
Si vous étiez....Etre dans une autre ville, un autre pays, en terre inconnue, avec sa main pour seul port d'attache fait tomber encore plus amoureux. Souvent je me dis : "Plus? c'est impossible."
Et chaque jour qui passe est comme un pied de nez à toutes mes certitudes.
Il y a eu l'exposition, le métro, courir partout, manger un hamburger à 17 heures, attendre un peu impressionnés avec une foule de personnes, mourir en musique, tomber encore encore plus amoureuse en regardant ses yeux scintiller. Il y a eu les pieds écrasés, les jeunes filles un peu trop dénudées et alcoolisées, les demoiselles d'à côté fans hystériques qui chantaient à en perdre leurs voix et à en faire tomber les oreilles des géants de devant, il y a eu des sourires complices avec des inconnus, il y a eu le coeur au bord de se décrocher, il y a eu Levallois de nuit, le conservatoire Maurice Ravel, le square vide la mairie, l'appartement aux mille tapis moelleux, paradis des pieds nus, il y a eu le petit déjeuner en amoureux, les sucres certainement créés spécialement pour nous deux, il y a eu Levallois de jour, les courbatures dans les jambes à force de se mettre sur la pointe des pieds, les sushis du coins de la rue, l'opéra Garnier et notre tête-à-tête parce que je ne peux pas mettre un pied dans la capitale sans lui rendre une visite, il y a eu les grands boulevards, les passages couverts, le magasin-merveille. Il y a eu Basile. Il y a eu le chemin du retour, les pieds dans la gare, la tête dans les nuages, le coeur léger, les mains bien accrochées.
( Et il y a eu l'accueil à la maison par de l'épistolaire-surprise. )
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