Je voulais conter mon samedi soir merveilleux. Celui où avec Amoureux, Essentielle, et deutscher Prinz on a grimpé au-dessus des falaises, là où on peut voir la ville toute entière scintiller de mille lumières tard le soir, juste derrière la petite église. Le samedi à la lueur des massues enflammées. Mais, cowblog m'a volé mes mots en silence.
Et puis, je suis rentrée dans la semaine ou on ne rigole plus. Alors, je vocabulaire, je thème, je version, je littérature, je civilisation, Je.
J'en perds mes mots en chemin, comme on sème des cailloux pour ne pas se perdre. Je parsème la route de mots. Je viens de jeter "sourire" juste derrière moi, et ce soir, je jetterai "sommeil" entre les draps. Pour réapprendre après. Le 14 mars. Le jour où je respirerai à nouveau. Je prendrai le chemin en sens inverse, le chemin de la vie. Je suivrai "sommeil", "légèreté", "rencontre", "sourire" et je retrouverai le mode d'emploi.
En attendant je me fais ermite, je me brûle avec le cuit-vapeur et amoureux me rafistole.
Je ne viendrai plus ici. Parce que si je me roule dans vos mots, je n'en sors plus. Alors je me l'interdis. Je ne viendrai plus, sauf en clandestine.
Et si l'envie de me donner du courage vous palpite au bout des doigts, certains connaissent l'adresse de la boîte à promesse d'épisolaires. Pour les autres, vous pouvez toujours cliquetiquer sur "contacter l'auteur" dans la partie "Epistoler" de la colonne de gauche, je lirai mes mails.
Et si jamais je survis à tout ça. Alors ce sera sûrement grâce à vous.
Des sourires.
Et puis, je suis rentrée dans la semaine ou on ne rigole plus. Alors, je vocabulaire, je thème, je version, je littérature, je civilisation, Je.
J'en perds mes mots en chemin, comme on sème des cailloux pour ne pas se perdre. Je parsème la route de mots. Je viens de jeter "sourire" juste derrière moi, et ce soir, je jetterai "sommeil" entre les draps. Pour réapprendre après. Le 14 mars. Le jour où je respirerai à nouveau. Je prendrai le chemin en sens inverse, le chemin de la vie. Je suivrai "sommeil", "légèreté", "rencontre", "sourire" et je retrouverai le mode d'emploi.
En attendant je me fais ermite, je me brûle avec le cuit-vapeur et amoureux me rafistole.
Je ne viendrai plus ici. Parce que si je me roule dans vos mots, je n'en sors plus. Alors je me l'interdis. Je ne viendrai plus, sauf en clandestine.
Et si l'envie de me donner du courage vous palpite au bout des doigts, certains connaissent l'adresse de la boîte à promesse d'épisolaires. Pour les autres, vous pouvez toujours cliquetiquer sur "contacter l'auteur" dans la partie "Epistoler" de la colonne de gauche, je lirai mes mails.
Et si jamais je survis à tout ça. Alors ce sera sûrement grâce à vous.
Des sourires.
(il faut cliquetiquer sur les lettres et les mots pour voir la vie en couleurs)