Ca y est, on a tous déserté, quitté le navire. Il ne reste plus que toi orphelin errant seul dans les rues désertes. Tu serres les poings au fond de tes poches et tu te demandes pourquoi on t'a abandonné, et surtout, pourquoi tes ailes à toi elles sont nouées dans ton dos. Ton tour viendra c'est promis, tu apprendras à voler.
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Par pelote le Samedi 6 février 2010 à 9:13
Je ne sais de qui tu parles, mais tu sais à quoi j'ai pensé ? A quand je me suis retrouvée toute seule chez mes parents, que mes soeurs étaient parties et que pour la première fois de ma vie j'étais là, toute seule, sans complices, sans alliées, sans étincelles, sans mes évidences. La lumière s'est éteinte et je n'ai pas cessé d'attendre que mes ailes se déploient à mon tour ! Du coup, je lis ton article en ayant les larmes aux yeux.
Par Samedi 6 février 2010 à 20:29
le Oui, je crois que ce que tu dis me fait écho. Et je crois que ça fait du bien, aussi, parce qu'on se sent un peu moins seul, si d'autres peuvent mettre du sens sur ce qu'on a voulu partagé. Qu'il peut être douloureux de sentir une réelle incompréhension chez l'autre !
Par Vendredi 16 avril 2010 à 5:11
le (merci)
Par Mardi 20 avril 2010 à 16:19
le "Dispute" avec Lya, je n'ai pas de nouvelles directement, je n'ai plus accès à son blog non plus. Par contre, si tu le souhaites, je peux lui écrire, si tu désires son mdp...
Dis,
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