Ce que j'aime c'est t'aimer de loin. Parce que quand on est trop près, il y a des jours où les battements du coeur sont un fond sonore, où ils ne sont plus une exception, et puis quand on est près on ne peut pas s'aimer en Retrouvailles. Et j'aime les retrouvailles. Quand les contours redeviennent nets. Quand je me fraye à nouveau un chemin dans l'habitude de ta peau.
bulle2coton
Le bazar de Mélusine la *Rêv£uzZ*
Lundi 2 novembre 2009 à 0:35
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Par Mademoiselle-Coquelicot le Lundi 2 novembre 2009 à 1:11
Oh, il est beau ton amoureux. Enfin le petit bout qu'on peut en voir. Et les cheveux ! :D
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 10:28
Comme Camille. Et comme toi, aussi, pour l'amour en retrouvailles, pour ne pas se perdre dans le quotidien.
:)
:)
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 11:38
Je ne le connais pas, ton amoureux, mais sur la photo il a une bouille à t'aimer. Et à aimer vos retrouvailles. Le problème avec la distance, c'est que ça marche dans les deux sens : on ne s'habitue ni à la présence de la personne, ni vraiment à son absence. Alors des fois on ne sait plus.
Je vous souhaite en tout cas des milliers de retrouvailles feu d'artifice, à tous les deux.
Je vous souhaite en tout cas des milliers de retrouvailles feu d'artifice, à tous les deux.
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 16:35
La toute première fois que je suis partie en Allemagne pour une année, et que je ne l'ai pas revu avant Noël, je me suis demandé quelle mélodie j'entendrais quand il serait là. Est-ce que je serais en face d'un presqu'étranger, est-ce que je trouverais le chemin de ses rêves, est-ce que l'espace entre ses bras serait toujours à ma mesure?
Et depuis, je sais. Je sais que je l'aime dans les pleins et les déliés. De loin, de près. Dans son absence aussi. Parfois il y a des gens qui vivent tellement près mais qui sont ailleurs, absents, pas vraiment là. Alors je préfère être loin. Parce qu'il sait être là dans son absence. Et parce que lorsqu'il est là tout près, il n'a pas envie d'être absent. Je dis des choses en pagaille. Mais je crois que tu comprends.
Tu dis qu'on ne s'habitue pas. Et c'est ce qui me plaît. Notre quotidien n'est pas fait d'habitudes. Ou si quand même, mais pas seulement. La routine est étrangère à notre histoire. Et parfois, on s'aime tellement fort, que ça dure l'éternité, pas moins.
Et depuis, je sais. Je sais que je l'aime dans les pleins et les déliés. De loin, de près. Dans son absence aussi. Parfois il y a des gens qui vivent tellement près mais qui sont ailleurs, absents, pas vraiment là. Alors je préfère être loin. Parce qu'il sait être là dans son absence. Et parce que lorsqu'il est là tout près, il n'a pas envie d'être absent. Je dis des choses en pagaille. Mais je crois que tu comprends.
Tu dis qu'on ne s'habitue pas. Et c'est ce qui me plaît. Notre quotidien n'est pas fait d'habitudes. Ou si quand même, mais pas seulement. La routine est étrangère à notre histoire. Et parfois, on s'aime tellement fort, que ça dure l'éternité, pas moins.
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 17:59
Léééa, tu sais je te trouve trop mignonnette, et de toutes façons les amouroux c'est les plus chouettes de l'univers !
(Ils sont beaux, tes mots d'amour)
(Ils sont beaux, tes mots d'amour)
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 19:09
"Parce qu'il sait être là dans son absence", cette phrase m'a fait hurler de bonheur (intérieurement) pour tous ceux qu'elle peut concerner. Ca existe vrai de vrai, les liens sincères, solides, hyperintenses et authentiques, et tu ne peux pas savoir comme ça me met de bonne humeur à chaque fois que je le reconstate ! (et même s'il fallait le constater mille fois ; eh bien j'aurais droit à mille sursauts de bonheur)
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 19:30
Oh oui ça existe. Tu sais, je crois que j'aime que tu sursautes de bonheur. Ca me fait sourire. Geant.
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 21:58
Tes mots ils.
Cœur.
Cœur.
Par le Lundi 2 novembre 2009 à 22:11
:)) Jolis jolis mots. Ouiouioui j'ai connu tout ça aussi. On se pose toujours, un TAS de question. ET.Ton amoureux, à un air d'amoureux magique. :)
Par le Mardi 3 novembre 2009 à 12:31
C'est pas qu'un air. Un magicien. Un petit prince.
Par le Mardi 3 novembre 2009 à 12:37
HAAAAN , je savais que c'était toi, tout s'est éteint et je me suis dit : haaaaa Léa a voulu me parler =)
Je suis sur FB
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Par le Mardi 3 novembre 2009 à 12:46
Oh ben j`aime beaucoup ton blog :)
la.dem0izelle.ch0c0lat@hotmail.fr .
la.dem0izelle.ch0c0lat@hotmail.fr .
Par le Mardi 3 novembre 2009 à 14:22
Je souris. C'est joli.
Je crois que je n'aime pas la distance moi par contre. Je l'aime de moins en moins. Tu es une forte. :)
Je crois que je n'aime pas la distance moi par contre. Je l'aime de moins en moins. Tu es une forte. :)
Par le Mardi 3 novembre 2009 à 16:15
Je ne crois pas être forte. Je crois. Juste je ne sais pas, quand on aime vraiment fort. Et je crois surtout qu'on a appris avec le temps à tisser des fils invisibles pour réduire les kilomètres.
Par le Mercredi 4 novembre 2009 à 9:56
Je voudrais aimer autant que toi la distance et l'absence, être d'accord avec toi. Essayer d'en faire abstraction et ne penser qu'à ces Retrouvailles, ce moment où l'on est à nouveau deux, à nouveau plein. Je crois que la différence entre ton histoire et la mienne, c'est que moi je n'aurai jamais la certitude de le revoir. Quand je m'en vais, quand il s'en va, ce peut être pour toujours. Je vis sans cesse par procuration, j'emprunte des morceaux de lui dans les souvenirs et j'en invente d'autres, ce sont toujours les mêmes mots, les mêmes images, les mêmes mélodies, toujours. Et c'est épuisant de vivre de cette façon, de l'attendre sans savoir, sans être sûre.
Par le Mercredi 4 novembre 2009 à 20:31
Je crois pourtant être moins forte que toi. Je crois ne voir plus que le négatif loin de monLui. Je pensais que je deviendrais plus forte, que j'arriverais à prendre de la distance et à voir l'essentiel. En fait non, je ne crois pas. Je crois que je suis aveuglée dans la tristesse.
Et alors oui, je te trouve très forte.
Et alors oui, je te trouve très forte.
Par le Jeudi 5 novembre 2009 à 20:45
Léaaaaaaaaaa, j'étais pas lààà, j'étais au yogaaa, et je viens de voir le message sur facebook, haaan je t'ai loupé je suis nulle.
Par le Vendredi 6 novembre 2009 à 8:04
Tu sais, Anatole vient avec moi. Il est dans la poche de mon gilet, sa petite tête qui sort .. Il va prendre le train..
Par le Samedi 30 janvier 2010 à 12:06
Il ressemble à Peter Pan, ton amoureux !
Par le Samedi 30 janvier 2010 à 12:30
Oh, mais mon amoureux, c'est vraiment un peu Peter Pan.
Dis,
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