Dimanche 15 février 2009 à 19:06

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Par bulle2coton le Dimanche 15 février 2009 à 19:12
je n'ai pas encore trouvé les mots pour conter ce film
Par pelote le Dimanche 15 février 2009 à 19:55
Un jour, ils viendront à toi, comme ça, et tu nous conteras ce film comme tu l'as vécu. :)
Par memecamouille le Lundi 16 février 2009 à 22:32
Je crois que je dois avoir honte de n'avoir jamais entendu parler de ce film. =x Ou alors de très très très loin.
Un grand merci pour tes mots de réconforts, tes petites paroles qui ne sont pas noyées parmi les autres... :)
Par mlle.mandarine le Mercredi 18 février 2009 à 11:10
Idem que Camille, pour le film :p
Merci pour cet extrait de Sarah Kane que je ne connaissais pas. Lorsque j'ai acheté mon premier livre d'elle, c'était impulsif. J'en avais d'abord entendu parler par quelqu'un puis, étant assez loin d'une bibliothèque ou grande surface (où j'aurai pu trouver ses ouvrages), j'ai donc fait pas mal de recherches internet sur elle avant d'atterrir sur Amazon où il m'a fallut faire un choix un peu à l'aveuglette : Manque ou 4:48 Psychose. Les deux avaient l'air passionnants, alors je me suis dit que j'allais commencer par la fin (le dernier). Mais je dois dire que ce n'est véritablement pas la même ambiance entre l'un et l'autre.

Un extrait de 4:48 Psychose (si tu ne l'as pas lu) pour que tu comprennes :

"Ce n’était pas pour longtemps, je n’étais pas là pour longtemps. Mais en buvant un café bien noir bien amer je la retrouve cette odeur d’hôpital dans un nuage de vieux tabac et quelque chose me touche à l’endroit où ça sanglote encore et une blessure vieille de deux ans s’ouvre comme un cadavre et une honte depuis longtemps enterrée clame infecte putréfaction sa peine."

C'est sans doute la phrase la plus longue et "construite" de toute cette -courte- pièce. Le reste oscille entre liste de médicaments, accès de folie, discussion avec son psychiatre,...
Par vilaine le Jeudi 26 février 2009 à 19:26
Je vais, si bien même que je ne sais pas ce qu'il m'arrive,j'ai eu des nouvelles de retour plutot amusante, qui réveillent en moi l'espoir perdu; mais je ne m'emballe pas je laisse le cerf volant s'envoler et je continue a garder du mou; quand je serais certaine alors je m'envolerais avec. Je vais bien, bien mieux, ça n'allait plus et ça va de nouveau, et toi? il me semble que des larmes coulent, mais pourquoi?
 

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