Vendredi soir, le train. Lui, son sourire, sa ville allemande, ses amis, la soirée, la longue discussion dans la cuisine, le film jusqu'à 6h30 du matin, le train deux heures plus tard. Samedi 14h43, lui, son sourire, l'abri de ses bras, la mousse dans le bain, la sieste dans la chambre vide. Samedi soir, eux, leurs sourires, le bar-maison, les éclats de rire, les secrets au creux de l'oreille.
Ces garçons sont les amours de ma vie.
(je crois que je pourrais mettre des mots, mais pas ce soir. Après le mail. La gorge nouée. Je crois. Non en fait je ne crois rien)
Dimanche soir, moi, le noir, la boule dans ma gorge.
Ces garçons sont les amours de ma vie.
(je crois que je pourrais mettre des mots, mais pas ce soir. Après le mail. La gorge nouée. Je crois. Non en fait je ne crois rien)
Dimanche soir, moi, le noir, la boule dans ma gorge.