Aujourd'hui quand mon regard s'est posé sur le calendrier Petit Prince j'ai pensé, c'est son anniversaire. Et puis, non. Et ce soir alors que la page de cette journée est sur le point de se tourner, je fixe le petit calendrier et je viens seulement de comprendre pourquoi je n'ai pas voulu rester une miette de seconde seule. Pourquoi je me suis levée à la dernière minute, pourquoi j'ai couru à l'institut pile à l'heure, pourquoi je me suis engouffrée en essayant de ne penser à rien dans cette pièce pleine de monde, pourquoi j'ai pris tout mon temps pour corriger les copies, pourquoi j'ai accepté d'aller boire un verre, pourquoi je ne suis pas descendue du StrassenBahn, pourquoi quand elle m'a proposé après les courses de monter je l'ai suivie sans hésiter, pourquoi je n'arrêtais pas de parler pour ne pas avoir à songer à repartir, et pourquoi maintenant que je suis toute seule chez moi et qu'on est toujours le 7 février j'ai une boule nichée dans la gorge. Aujourd'hui j'ai essayé de ne jamais rester assez longtemps seule pour ne pas penser à toi. Aujourd'hui tu me manques plus que n'importe quel autre jour.
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Par B0uille le Mardi 8 février 2011 à 9:16
Des sourires pour te tenir chaud Doucette.
Par Mardi 8 février 2011 à 10:01
le J'étais venue te dire que je trouve le petit bateau du favicon mignon et doux. Et puis maintenant, je voudrais pouvoir t'enlacer et te dire que cela va aller. Et puis on est le 8, j'espère alors que la douleur s'est un peu atténué.
Par Mardi 8 février 2011 à 23:40
le J'aurai aimé être dans la salle de l'institut et te faire sourire jusqu'au 8, jusqu'à la fin du monde même si tu veux.
Par Mercredi 24 août 2011 à 15:28
le Les gens n'ont aucun respect. Il n'y en avait pas qu'un en plus.
Je te remercie infiniment.
Je te remercie infiniment.
Dis,
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